L'Emile Bertin
de la mer du Nord aux Caraïbes 1940-1943
Son originalité ?
Il a été construit à partir de nombreux carnets de bord de marins, par "ceux qui y étaient". Son illustration, une trentaine de photographies, vient aussi de la photothèque personnelle des "Hommes du Bertin" de cette période.
Son authenticité ?
Cette recherche documentaire, de recoupement et de contrôle des faits a demandé une douzaine d'années de travail à ses co-auteurs, René Auque et Paul Carré.
Le premier était télémétriste à bord du Bertin de 1940 à 1943 tout comme Paul Carré qui a participé aux débarquements d'Anzio et de Provence.
Ce dernier a écrit plusieurs ouvrages sur la Marine. Son autorité en la matière l'a conduit à être membre de la Commission Française d'Histoire Maritime.
Sa crédibilité ?
La rédaction de cet ouvrage a permis de communiquer des documents récemment inconnus par le Service Historique de la Marine. Celui-ci a pu apprécier la qualité des preuves fournies par les acteurs du moment.
Cet ouvrage particulier a le rare privilège d'être préfacé par le Chef d'Etat-Major de la Marine, l'Amiral Jean-Louis Battet.
Ce bâtiment, navire-amiral, et ses équipages ont connu une destinée souvent singulière.
L'Emile Bertin était le fruit d'une conception de rupture avec le passé. D'une technologie très avancée (compartimentage, puissance et précision de son artillerie, système de propulsion très musclé, premier bâtiment doté de tourelle triples de 152, etc…) ; c'était sans doute le croiseur le plus rapide du monde.
Techniquement, il était unique. Son "profil" le destina souvent à des opérations "raids" ou "coups de poing".
Surnommé "Le Chanceux" par l'Amirauté ; lorsque le spectre du sabordage rôda en 1943, vous vivrez alors la "désobéissance de l'équipage" à un ordre aussi absurde que criminel contre les intérêts de la France.
Nous vous invitons à vivre ces évènements, le quotidien sans fard des marins, en compagnie des "Hommes du Bertin".
A très bientôt, à bord.
René Auque
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